Lecture rencontre avec les poètes Estelle Fenzy et Didier Pobel

La Maison de la Poésie de Poitiers a le plaisir de vous inviter
le samedi 23 septembre 2023, à 18h,

au 198 rue du Faubourg du Pont Neuf, Poitiers :

À UNE LECTURE RENCONTRE AVEC LES POÈTES
Estelle FENZY et Didier POBEL

Un grand moment d’échange et de partage de leur parole poétique.

Estelle FENZY écrit depuis 2013, des poèmes et des textes courts. Au rythme de la vie, dans la vie. Le plus souvent autour d’un thème qui touche ses émotions, ses sens, sa propre existence et son cheminement (la maladie et la mort de son père, une chanson qui la bouleverse, la tragédie des migrants, un crash d’avion, une passion, la maternité…). Mais quels que soient la forme et le thème, elle travaille au dépouillement, fuit le mot de trop, le superflu, l’effet joli qui éloigne de l’essentiel.
Publications : Chut (le monstre dort), éditions La Part Commune, 2015, Sans, éditions La Porte, 2015, Rouge vive, éditions Al Manar, 2016, Juste après, éditions La Porte, 2016, L’Entaille et La Couture, éditions
Henry, 2016, Le Papillon, éditions du Petit Flou, mai 2017, Mère, éditions La Boucherie Littéraire, juin 2017, prix René-Leynaud 2018, Par là, éditions LansKine, février 2018, Mon corps c’est ta maison, La Porte,
2018, Poèmes western, LansKine, 2018, La minute bleue de l’aube, La Part Commune, 2019, Gueule noire, La Boucherie Littéraire, 201, Coda (Ostinato), Les Lieux-Dits, 2020, finaliste du Prix International de poésie de Montréal 2020, Le chant de la femme source, L’Ail des Ours, 2020, Eldorado Lampedusa, Pourquoi viens-tu si tard ? 2021, Amoureuse ? La Boucherie Littéraire, 2021, Boîtes noires, éditions Le Chat Polaire, 2023

Didier POBEL est né en 1952 dans la campagne bressane, où il vit de nouveau. Après une brève période d’enseignement, il sera journaliste et critique littéraire pendant une trentaine d’années au Dauphiné Libéré. Il a obtenu le Prix Kowalski pour les poèmes de Liaisons intérieures et autres lignes (Cheyne, 1990, réédition 1997).Parmi ses autres recueils parus : L’Éternité ne dure que cinq minutes tous les jours (Fagne, Bruxelles, 1977), Le Chemin frayé (Le Dé Bleu, 1978), Les Nulles parts (Subervie, 1983, prix Ilarie Voronca). Il donnera sa collaboration à de nombreuses revues : la NRF, Esprit, Théodore Balmoral, Poésie 1, Faire Part, Jungle, Action poétique. Et ses poèmes seront traduits en allemand, italien, roumain, hongrois… Plus récemment, il a publié un récit autobiographique (Un beau soir l’avenir, La Passe du vent, 2014) et deux  romans pour la jeunesse (Maman aime danser et Je volais je le jure, Bulles de Savon, 2016 et 2017). Le temps qu’il fait a publié en 2012 son roman Couleur de rocou.