Jean-François nous a quittés. Il était souvent venu à la maison de la poésie dont il était l’un des plus fidèles soutiens depuis ses débuts. Nous aimions le poète, nous aimions l’homme. Pour ma part, c’était un immense ami, avec qui l’on parlait de poésie, de littérature et de tout. Je le revois encore à Prague où nous étions en 1990 dans une délégation de poésie française comme « jeunes poètes » devant la Vltava et le Pont Charles… Lisons-le, relisons-le, c’est la seule manière de lui rendre hommage et de prolonger sa vie parmi nous, car c’était un très grand poète.
Jean-Claude Martin
Deux poèmes de Jean-François Mathé :